J’ai oublié quoi dire / What am I going to say ? 27 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : High-Tech dans le Nord.Lu 4 065 fois | ajouter un commentaire
Tout est prêt pour la conférence de demain. J’ai installé Speechi Live, ouvert des comptes, testé les micros, les tableaux interactifs…
Mais il me semble avoir oublié quelque chose…
Everything looks ready for tomorrow’s conference, but I feel I’m missing something…
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Ben Laden s’engage en faveur de l’enseignement à distance / Ben Laden’s commitment to e-learning
Par Thierry Klein dans : Formation à distance.Lu 4 397 fois | 2 commentaires
Je croyais avoir touché le fond, l’autre jour, quand j’ai entendu dans une conférence que le 11 septembre avait eu des effets positifs sur le développement de l’e-learning. Raison invoquée : de grands groupes américains ont réduit les déplacements en avion pour leurs cadres au profit des conférences à distance.
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- Pourquoi un grand nombre d’écoles et d’universités françaises suivent une stratégie e-learning vouée à l’échec / Why do most french higher education schools and universities follow a doomed e-learning strategy ?
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- Une utilisation de l’IPOD en cours de littérature / A real use of IPOD in the classroom
Le rôle du gouvernement dans la politique Open Source (piqûre de rappel). 25 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : Politique.Lu 5 534 fois | 3 commentaires
Je tombe par l’intermédaire d’EdTech sur un excellent site anglais nommé Edugeek, qui contient des ressources (à caractère technique) utiles dans le domaine de l’éducation.
(suite…)
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Pourquoi l’eBook ne décolle pas
Par Thierry Klein dans : Technologies.Lu 3 716 fois | 1 commentaire
Tom se demande, dans son excellent blog, pourquoi l’eBook ne décolle pas.
Il donne plusieurs raisons et en particulier l’absence de hardware « fédérateur » (qui jouerait vis à vis de l’eBook le rôle que l’IPOD joue avec la musique).
Oui, bien sûr, mais je ne pense que l’élément fédérateur n’est pas encore au point. Dans le cas de l’eBook, c’est l’écran. Impossible de réellement lire sur les écrans actuels.
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Le rasoir à 15 lames de Gillette 24 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : marketing.Lu 10 395 fois | 4 commentaires
Bon, je trouve que je radote de plus en plus dans ce blog, mais j’avais écrit il y a 10 ou 15 ans un article sur le futur rasoir à 15 lames… On le sentait venir, comme on dit: la barbe !
Seule la première lame fait ce qu’on lui dit de faire (couper le poil). La deuxième est un peu plus maligne, on sait qu’elle le saisit « avant qu’il ne se rétracte » (ce qui d’ailleurs constitue un aveu d’impuissance implicite pour la première lame).
La troisième lame…Elle fait quoi déjà ? Même les gars du marketing de Gillette, qui sont des bons et qui ont le temps, n’ont pas trouvé ce qu’elle faisait exactement. Disons qu’elle fignole le tout.
La quatrième lame… (grosse fatigue !). Il se peut qu’elle saisisse le poil au moment où il rebondit, juste après d’être rétracté ?
La cinquième lame coupe tous les poils mutants (vous savez, les poils intelligents qui se cachent lorsqu’ils entendent les 4 premières lames). Prévoir bientôt les lames 6, 7, 8 et 9 (pour saisir les poils mutants avant qu’ils ne se rétractent, rebondissent, mutent à nouveau, etc…).
Je vous donne ma conviction. Chaque lame coupe un fort pourcentage des poils qu’elle rencontre. (Disons 80% des poils). Donc la conséquence immédiate, c’est que la lame 2 s’use moins que la 1, etc… Au final, quand vous jetez votre cartouche, les 2 ou 3 dernières lames sont presque neuves et c’est tout bénef pour Gillette.
(A quand le système réversible pour inverser l’orientation des lames dans les cartouches, ce qui doublerait la durée d’utilisation ?).
En même temps, les procédés d’affûtage des lames progressant, le confort de rasage progresse, ce qui permet à chaque fois à Gillette de communiquer sur l’amélioration du confort lié au nombre de lames…C’est assez dur à juger en fait (au milieu des différentes mousses, gels qu’on utilise et de l’endoctrinement qu’on reçoit lorsqu’on voit Claudia Schiffer caresser la joue de l’Homme fraichement rasé sur la pub qui précède le 20h). Et évidemment, c’est Gillette qui réalise les études sur le confort de rasage…
Je n’ose imaginer à quel degré de perfection Gillette aurait pu porter la guillotine si la société avait existé en 1789. Ils auraient sans doute réussi à trancher la tête 2 ou 3 fois pour le plus grand bonheur du condamné. (Et le condamné étant rasé de près par le bourreau, ils auraient réussi à dégager de grandes synergies commerciales).
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Walt Disney et Spielberg 21 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : Critiques.Lu 4 900 fois | 1 commentaire
Ma fille vient d’avoir 2 ans et, à ce titre, jouit d’un droit imprescriptible et inaliénable à regarder Bambi tous les jours.
Ca fait plus de 20 ans, peut être même plus de 30, que je n’avais pas vu Bambi et je ne me rendais pas compte à quel point c’est un film extraordinaire.
Quand Bambi perd sa mère, une seule larme coule le long de sa joue (on ne voit pas la mort de la mère, presque aucune parole n’est prononcée). La paysage est à la fois tragique (il neige violemment) et féérique (la musique, la neige rappellent Noël). En un plan unique, ce qui évoque les films de John Ford, Bambi et son père (le père est magnifiquement mis en valeur, ce qui est en plus très satisfaisant pour mon ego) disparaissent alors qu’on entend une chanson qui annonce le printemps. C’est une des plus belles séquences de cinéma que j’ai jamais vues.
Quel contraste avec ET… La scène de la (pseudo) mort d’ET est lourdingue. Grosse musique, grosses ficelles (plein de monde dans la maison, la scène est très longue à cause du sacro-saint « suspense »). Les plans semblent inspirés de la (pseudo) mort de Blanche-Neige, mais ça n’arrive pas à la cheville de Walt Disney. D’un côté, on a un grand auteur classique (Disney) et de l’autre un auteur de best-sellers (Spielberg)
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Ketady : Die Luft der Freiheit weht
Par Thierry Klein dans : Technologies.Lu 4 725 fois | 3 commentaires
J’ai découvert aujourd’hui Ketady lors d’une réunion consacrée à l’innovation où je devais présenter Speechi et notre approche à l’innovation. Je n’ai pas le souvenir, depuis 20 ans que je travaille dans la technologie, d’avoir jamais vue une idée (réalisée) aussi convaincante.
L’idée de base est simple. Ketady est un site où l’on pose des questions (n’importe quelle question). La question est envoyée vers des experts qui y répondent. A la base, c’est une communauté.
L’originalité, c’est que les experts sont sélectionnés automatiquement par le moteur Ketady, qui calcule en fonction de la question posée quels sont les personnes les plus à même de répondre aux différents sujets. Dès que vous vous inscrivez, dès que vous avez posé une première question, le moteur vous a déjà analysé (en fonction de la question que vous avez posée, de votre profil) et peut vous utiliser comme expert.
La qualité de la communauté croît donc naturellement avec la taille de la communauté elle-même.
C’est assez similaire à Google Answers dans l’approche sauf que:
– c’est gratuit
– c’est de meilleure qualité, la communauté étant beaucoup plus grande.
Pour l’instant, les revenus de Ketady proviennent de la publicité contextuelle générée, mais il y a une infinité de déclinaisons possibles, selon la façon dont on envisage l’intermédiation
Surtout, Ketady est à fond dans le mécanisme communautaire. C’est une sorte de Wiki « à la demande ». La qualité des réponses est déjà excellente (testez le système) et s’améliorera sans cesse (Ketady a actuellement 5000 abonnés donc 5000 « experts »). Je pense qu’on peut envisager des communautés de plusieurs millions d’abonnés. Le système est déclinable dans toutes les langues à terme.
Je trouve que l’approche est vraiment bien pensée. Les « experts » ne reçoivent pas plus d’une question par semaine (ce qui n’est vraiment pas grand chose quand le système a pu vous aider sur des questions parfois vraiment complexes). C’est un logiciel social mais beaucoup plus utile et moins malsain que LinkedIn, par exemple.
C’est la première fois que je vois, en France, une startup crédible d’envergure planétaire. A partir de là, si cette boîte finit par être rachetée par Google pour moins de 500 millions de dollars, c’est qu’on est vraiment devenu des sous-développés.
(Pour ceux qui ne connaissent pas, « Die Luft der Freiheit weht »‘, c’est la devise de Stanford. Ca m’a rappelé la première présentation de Yahoo que j’y ai vue il y a 10-15 ans alors que j’y étudiais encore.)
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Houellebecq : le petit Girard Illustré 20 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : Critiques.Lu 6 353 fois | 1 commentaire
J’ai parlé ça et là dans ce blog de René Girard, en disant en particulier que Kundera l’avait lu. Visiblement Houellebecq aussi et son dernier livre (la possibilité d’une île) est une sorte de mise en abyme girardienne. (fondation d’une religion, meurtre rituel du prophère, renaissance future, références à Nietsche, aux Evangiles, à la Bible… l’ensemble du livre est bourré de symboles et de références bien lourds comme on dit).
Le problème d’un tel livre, c’est quand même qu’il vient après René Girard et que donc on peut se demander où est l’intuition artistique (il y a plutôt manque de sincérité). J’écrivais là que beaucoup de romans allaient tomber « par avance » sous l’interprétation girardienne et qu’il s’agissait alors d’une négation de l’Art du Roman.
Je pense que les lecteurs de blog, en général, doivent bien aimer Houellebecq, qui est une sorte de geek. C’est évident qu’il passe pas mal de temps sur Internet et on y retrouve des traces de blagues web célèbres (comme celle du petit garçon qui fait chier ses parents au supermarché et qui se termine par « Just say no, use condoms ! »). Le héros de Houellebecq est une sorte de scientiste négatif. Il croit à la science, en ses progrès mais pas en l’avenir de l’homme, car l’homme n’est lui-même qu’une machine qui s’ignore (because l’evolution, la génétique, la chimie, etc…). Assez banal, en fait, mais peu de romanciers ont eu ce point de vue. Ca donne un point de vue forcément polémique car le lieu du combat traditionnel entre les « scientifiques » et les « écologistes » est déplacé – et les points de vue des deux attaqués.
Au final, je trouve ça quand même dommage que la construction du livre soit si lourdingue. Ceci dit Houellebecq est un excellent conteur et c’est souvent très drôle. En cherchant bien, vous trouverez même des accents de Romain Gary dans le roman, mais je ne suis pas sûr que Houellebecq apprécierait le compliment, même si les effets recherchés et les techniques utilisées sont bien similaires.
Et après tout, si Houellebecq se donne le droit de dire qu’il aime les chiens, j’ai bien le droit d’aimer Houellebecq et Romain Gary (et les chiens) à la fois.
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Houllebecq : le petit Girard Illustré
Par Thierry Klein dans : Critiques.Lu 5 967 fois | 2 commentaires
J’ai parlé ça et là dans ce blog de René Girard, en disant en particulier que Kundera l’avait lu. Visiblement Houellebecq aussi et son dernier livre (la possibilité d’une île) est une sorte de mise en abyme girardienne. (fondation d’une religion, meurtre rituel du prophère, renaissance future, références à Nietsche, aux Evangiles, à la Bible… l’ensemble du livre est bourré de symboles et de références bien lourds comme on dit).
Le problème d’un tel livre, c’est quand même qu’il vient après René Girard et que donc on peut se demander où est l’intuition artistique (il y a plutôt manque de sincérité). J’écrivais là que beaucoup de romans allaient tomber « par avance » sous l’interprétation girardienne et qu’il s’agissait alors d’une négation de l’Art du Roman.
Je pense que les lecteurs de blog, en général, doivent bien aimer Houellebecq, qui est une sorte de geek. C’est évident qu’il passe pas mal de temps sur Internet et on y retrouve des traces de blagues web célèbres (comme celle du petit garçon qui fait chier ses parents au supermarché et qui se termine par « Just say no, use condoms ! »). Le héros de Houellebecq est une sorte de scientiste négatif. Il croit à la science, en ses progrès mais pas en l’avenir de l’homme, car l’homme n’est lui-même qu’une machine qui s’ignore (because l’evolution, la génétique, la chimie, etc…). Assez banal, en fait, mais peu de romanciers ont eu ce point de vue. Ca donne un point de vue forcément polémique car le lieu du combat traditionnel entre les « scientifiques » et les « écologistes » est déplacé – et les points de vue des deux attaqués.
Au final, je trouve ça quand même dommage que la construction du livre soit si lourdingue. Ceci dit Houellebecq est un excellent conteur et c’est souvent très drôle. En cherchant bien, vous trouverez même des accents de Romain Gary dans le roman, mais je ne suis pas sûr que Houellebecq apprécierait le compliment, même si les effets recherchés et les techniques utilisées sont bien similaires.
Et après tout, si Houellebecq se donne le droit de dire qu’il aime les chiens, j’ai bien le droit d’aimer Houellebecq et Romain Gary (et les chiens) à la fois.
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Prédire le succès du mariage Skype-eBay, c’est possible, grâce à Loïc 15 septembre 2005
Par Thierry Klein dans : Technologies.Lu 5 602 fois | 3 commentaires
Je reviens sur mes billets et sur mes doutes concernant l’acquisition de Skype par eBay. En fait, tout le monde (même moi) comprend que Skype est un opérateur unique ce qui lui donne une grande valeur. Ce qu’on comprend moins, c’est la synergie entre Skype et eBay. Je parlais dans mon billet de synergie de second ordre (au sens où elle n’a jamais été testée aujourd’hui) mais ceux qui « croient » au deal parlent d’un effet majeur.
Je cite Alec Saunders, par exemple:« Ebay va se transformer en une sorte de souk sonore. Les gens parleront, discuteront le boût de gras et négocieront les détails de l’achat. Il ne sera plus possible de just publier une enchère et de la laisser s’écouler, comme jadis ».
Cette synergie que j’appellerai la « VOIB » (Voix sur EBay) correspond à la question suivante. Y aura-t-il beaucoup plus de transactions commerciales de toutes sortes sur eBay avec une bonne utilisation de Skype ? Et le fait d’avoir un lien « automatique » en un clic (Skype) est-il un plus par-rapport à un coup de téléphone normal ?
Dans un premier temps, on répond oui pour les deux questions. C’est sûr qu’avoir le vendeur au bout du fil va augmenter le taux de transformation. C’est sûr que Skype peut générer de nouveaux types d’enchères, sans parler des enchères vidéo. On ne sait pas quantifier tout ça, ça peut ne pas justifier l’acquisition, mais l’effet existera.
Et puis après, je pense aux podcasts sur le blog de Loïc. J’en ai écouté un ou deux, au début, par curiosité, mais maintenant, je zappe la plupart des podcasts. Pourquoi ? Parce qu’ils vont me prendre plusieurs minutes d’écoute, alors que je peux lire un billet en 15 secondes. Donc je ne vais plus sur les podcasts parce que je n’ai pas le temps, même si je trouve ça sympa.
Sur eBay, c’est un peu pareil pour l’acheteur (on positionne une enchère quand on veut, en 3 secondes, mais a-t-on envie et surtout a-t-on le temps de passer des coups de fil régulièrement ?). Pensez surtout au vendeur qui va devoir s’y prendre complètement différement. Une petite boutique qui veut vendre sur eBay devra changer de modèle, répondre au téléphone, bref avoir une interface commerciale performante (ça va attirer de nouveaux vendeurs, mais aussi en écarter. Pour un particulier, ça peut devenir du délire…)
Au final, effet négatif ou positif ?
Nul au monde ne le sait, sauf peut-être Loïc (toujours lui). Loïc, est-il indiscret de te demander quelle est la fréquentation sur tes podcasts comparée à celle du blog ? Ressens-tu (hors effet nouveauté et hors tout « enthousiasme ») une baisse de fréquentation des podcats pour certains utilisateurs ? Où les podcasts constituent-ils une lame de fonds en train de balayer la planète blog (qui comme chacun sait est-elle même une lame de fond qui balaie la planète tout court – j’en ai assez fait comme ça ?)
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